Décès d'un membre de la famille...

Un jour normal commençait... Pourtant cela n'en était pas un...
Le désert de Polluis, et au beau milieu, se trouve une forteresse, le palais de Falzim Jadaï... Mais tout autour, c'est la mort qui règne... Un cimetière dont les tombeaux sont des grains de sables désechés et abandonnés...

Un enfant joue dans la cour... C'est le neveu de Virmak, seigneur de Polluis, et général d'armée. Il oue, sans se douter, qu'un ombre le guette : les créatures du désert, sont dangereuses, et le monde les craint du fait de leur aggresivité et de leur puissance sanguinaire... Ce qui explique, les forteresses de Polluis. Ces créatures se jettent lâchement sur leur proie, une loi de la jungle est appliquée, le plus fort l'emporte...

L'enfant, lui, continue, et finit par sortir de la forteresse pour jouer à l'oasis la plus proche, un lieu paisible et non-fréquenté par les démoniaques créatures de ce monde... Mais l'exception est omniprésente : Un gigantesque serpent à pattes et doté de petites ailes insuffisante pour voler, fait son apparition et se jette sur l'enfant !
Une lance s'interpose entre les deux entités, le cousin de cet enfant avait vivement et précisément, jeté l'arme pour éloigner la créture, mais cela ne fonctionna pas, le serpent continua après un brève intéruption à planer vers sa victime... Mais celui qui devait être touché ne le fut pas : la place de l'empoisoné s'échangea, le cousin avait sauvé le plus jeune, Mais... en échange de sa vie...

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Les funérailles durèrent 3 jours, 3 jours maudits et plein de remords et de tristesse...
Le plus âgé des neveu de Virmak avait été empoisonné et tué par une créature inconnue...

"C'était un brave, il n'eut pas hésité de perdre sa vie pour celle d'un autre...qui avait pourtant moins de valeur que lui : il a protégé un plus faible, car il savait que celui-ci aurait une destinée importante... A partir d'aujourd'hui, les sortit d'enfant non accompagnés seront interdites... Tout infractions seront punies !"

Après ces paroles, Virmak jetta des fleurs du désert sur la tombe, qui devint le monument symbolisant le sacrifice...

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Après ces 3 jours, Virmak s'en alla de chez lui pour trouver quelqu'un qui saurait l'aider dans la quête pour communiquer avec Ectelraad, ce fut rapide...
On lui trouva le sorcier de Polluis, qui le mit en contact avec le défunt...
Il confirma ses hypothèses... Le brave s'était bien sacrifié pour la cause du faible, qui maintenant, devait hériter du courage de son aîné...

"Bonjour,Virmak."
c'était le Roi Fazaö II, ami du seigneur et général Virmak, qui, au terme d'un court voyage sur les flots de la mer blanche, avait atteint le palais de Falzim Jaldaï.
"Mortaïdol, général, et mes expressions de respect et de condoléances en ces moments difficiles. Je comprends ta douleur, car j'ai moi-même, comme tout le monde, perdu des proches : mes parents bien sûr,ainsi que mes trois frères etma soeur, mais aussi.... mon cousin, Sikentaïr Asthendalo ol Nohansum, que j'ai perdu le jour ou j'ai tué son père. Je comprends qu'il m'en veuille, non pas parce que je lui ai volé le trône, non, mais parce que je lui ai volé son père! J'ai été recueilli alors qu'i n'avait que deux ans, et son père m'a porté beaucoup plus d'attention qu'à lui, et c'est pourquoi on peut dire qu'il n'a pas eu d'enfance."
Fazaö se leva, et alla près d la fenêtre, d'où l'on pouvait voir le désert et sentir son parfum mélant mort et pureté. Fazaö respira longtemps les embruns du désert, et Virmak ne lui répondit pas.
"Je comprends à présent ton absence tant d'évènements important, et tu as eu raison d ene pas t'y présenter, car un proche a plus de valeur, selon moi, que tout le reste au monde. Si tu souhaites tenir un deuil, dis m'en la durée, et j'en tiendrai compte, sinon, il faut que nous parlions de notre patrie, à présent, car Echtelion a besoin de toi, et de ton île,et de ton peuple. Echtelion n'est rien sans Polluis, et tu le sais. Que cette épreuve qui ne t'a pas tué te rende plus fort, et lève toi, si tu le veux, afin de contribuer à mener notre planète à la victoire."

"Bien... Je vais choisir de me battre pour mon proche... Et de le venger coûte que coûte ! Je ne veux plus de cette guerre incessante ! Même si pourtant, c'est une de mes raisons de vivre, car cette raison n'est plus à mes yeux... Elle s'est transformée en volonté de vengeance envers le mal qui règne en cette planète..."

Virmak regarda l'horizon... Il versa une légère larme d'un oeil, qui s'évapora par la force de la chaleur du désert...

"Je veux que rien n'arrive de mal sur Echtelion... Elle m'a tout donné cette planète, mais elle est aussi cruelle à cause des crétures qui y vivent... Mais je dois me ressaisir... Et comme le dirait si bien ton cousin Sikentaïr : "Que la divine puissance sur ce monde délabré et en putréfaction se déchaîne !", ma force sera divine contre celle du monde des ennemis..."

Virmak regarda à nouveau l'horizon... Il pris rapidement son arc et une flèche, puis tira un coup au loin...
Il venait d'appercevoir une créature qui allait attaquer le village prochain...
La flèche fit un trajet de 2 461 pieds et se planta en pleine tête de la créature...

"Umm... Encore une de ces sales bêtes... Je me demande d'où est-ce qu'elle viennent... Trève de bavardages inutiles... Mais avant cela, comment as-tu appris cette nouvelle ? Personne n'a quitté la forteresse depuis..."

"Depuis que tu y es rentré il-y-a deux mois, je sais. C'est Sikentaïr qui nous a mis au courant pendant le grand conseil. Il a du rncontrer ton neveu à ectelraad, ou quelque chose comme celà. Bon, puisque la tristesse a cédé sa place au sentiment de vengeance, ce qui es mal, mais n'est pas blâmable car nous le ressentons tous, je vais écrir les cahiers économiques de l'ensemble des îles, ce qui prendra certainement beucoup de temps. mais je crois que tu es un bon cartographe. Il n-y-a pas de guerre en ce moment, alors dessines ces cartes, que nous puissions mieux élaborer nos stratégies! Tui caonnais la foreme des îles et la position de la plupart des villes. Tu en connais certainement que je ne connais pas moi-même Wink

, place les aussi. OPour ma part, je vais rester un peu dans ton palais, et y continuer mes travaux. Et puis j'ai une expédition à faire dans les montagnes noires au sud, je dois recruter quelques uns de tes guerriers pour cette quète."

"Quelqu'un m'a appelé ?
...
Eh mince... C'est l'autre du trône...

L'avatar concret de Sikentaïr avait fait son apparition...

Bien...
...
Toutes mes condoléances Général en Chef...
Si vous le voulez, je peux vous mêtre en contact avec votre proche du royaume d'Ectelraad, mais seulement pendant un cours instant...

Et... je me suis permis de prendre le grimoire des Krikarrfz... Et je lirai l'incantation à la place donnée et au moment venu..."
dit-il tout haut, sans croiser le regard de son cousin...

"Non merci Seigneur Sikentaïr... Le revoir ne ferait que nourrir ma colère... Il vaut mieux attendre...

...
Je vais commencer la conception des cartes précises. Mais il me faut faire un voyage aux terres noires pour voir les reliefs et côtes... Du moins, une partie... J'aurais besoin de compagnies pour m'aider à cartographié cette partie du monde..."

Fazaö réfléchit..... qui pourrait-il envoyer avec Virmak pour cette mission, qui? Mais bien sûr!
"Celà fait longtemps que je ne suis plus parti à l'aventure! Si tu le desires, Virmak, je peux t'accompagenr... et puis au fond, que yu le veuilles ou non, je viens avec toi! Il est temps pour le roi de prouver une fois encore pourquoi il est monté sur le trône."
Il se tourna vers Sikentaïr, le regarda dans les yeux... même en évitant son regard, Sikentaïr ne pouvait pas ne pas sentir son regard fixé sur lui.
"Sikentaïr Asthentalo ol Nohansum, je te fais régent du royaume en mon absence. Gère aussi bien que tu le pourras notre royaume. Je tiens à ce que tu me rendes min royaume dans l'état dans lequel tu l'as trouvé, sinon mieux. Plus que ça... je te laisse modifier certaines lois, règles et fonctionnements du royaume. Si tu ttrouves ma façon de gouverner si indigne, il est temps pour toi de me montrer pourquoi!"

"Je refuse..." dit Sikentaïr d'un ton froid et sec...
"Je n'accepte pas cette offre sans valeur... Et préfère encore aller aux terres sombres que de rester dans le coeur d'un royaume en putréfaction ! Même si pourtant le cerveau de cette pourriture est proche, je refuse entièrement de rester coincé à Maestrom pour gouverner "non légalement" (c'est-à-dire sans être vraiment à la tête de la planète)... Je viens aussi avec vous !"

Tout ça, Sikentaïr le pensait réellement, et son avatar s'effaça légèrement jusqu'à disparaître entièrement... Puis on entendit une voix intérieure :

"Vous n'aurez plus qu'à nous rejoindre sur la première partie des terres noires, au nord-ouest de Faestrus..."

"Non, Sikentaïr, tu es la seule personne apte à gouverner, et je ne compte pas rester sur mon trône alors que vous êtes au coeur du danger. Je n'ai que 23 ans, j'ai atant besoin d'action que vous! Quand j'aurai 60 ans, là je restera sur mon trône. Mais là , il faut que je bouge!"
Puis il réfléchit..... et dit.
"Humph, de toute façon, toute responsabilité t'accable, Sikentaïr, tu as peur des responsabilités. Si vraiment tu préfères aller tuer plutôt que de t'occuper un peu de notre peuple, vas-y, je m'en moque! Je resterai là!"
Puis il sortit so épée, la contempla pendant cinq secondes, et sortit, triste de ce manque de confiance de la part de son cousin. Il ne pensait pas ce qu'il avait dit, mais ila vait le seniment que Sikentaïr l'avait empéché de partir (sans en avoir le droit, d'ailleurs) dans le seul dessein de l'empécher de montrer ses talents guerriers.

Virmak dit calmement...
"Pourquoi ne pas y aller monseigneur ? Après tout, dans ses paroles, il vous a légèrement inviter à le rejoindre...
Allons-y, nous serons trois, et à nous tous, nous parviendrons à visiter les terres inconnues... Mais par contre il vous faudra trouver quelqu'un qui siègera, ou simplement gouvernera ls planète... Je pense que plusieures personnes y sont aptes... Mais en fait, Sikentaïr ne fait pas partie de ce groupe, il est occupé dans les catacombes, alorsce serait une trop lourde tâche... On pourrait prendre Myzdenel, pour gouverner, bien sûr, il sera accompagné de plusieurs personnes pour le conseiller durant notre absence... Êtes-vous d'accord ?"

Virmak réfléchit, en pensant à ce que Fazaö avait dit :
" Je comprends ta douleur, car j'ai moi-même, comme tout le monde, perdu des proches : mes parents bien sûr,ainsi que mes trois frères etma soeur, mais aussi.... mon cousin, Sikentaïr Asthendalo ol Nohansum, que j'ai perdu le jour ou j'ai tué son père."

Puis il comprit que c'était une réalité dur à accepté mais qui était telle qu'il la vivait...

Fazaö se retourna, regarda Virmak, puis acquiesça:
"Je pense que c'est une bonne idée, je pense que Myzdenel pourra se débrouiller, s'il est appuyé par de bons conséiller. je suis d'accord."